d'après bts chimie 1995 En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de Cookies vous proposant des publicités adaptées à vos centres d’intérêts. |
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
.
. |
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
Le schéma de principe d'une machine à froid par compression peut être ramené à : ![]() Le fluide caloporteur utilisé peut être considéré comme un gaz parfait de capacités thermiques molaires: Cp = 35,61 J.mol-1 K-1 ; Cv = 27,30 J.mol-1 K-1 ; R = 8,31 J.mol-1 K-1 ; g= 1,304 Dans un premier temps, on suppose que le système fonctionne selon un cycle réversible entre les températures Tl = 269 K et T3 = 298 K. Le cycle peut être alors schématisé dans le diagramme de Clapeyron par :
On appelle coefficient de performance la quantité e = Qd/W où W représente le travail échangé avec le milieu extérieur au cours d'un cycle et Qa, Qb, Qc, Qd les quantités de chaleur échangées lors des étapes a, b, c, d du cycle.
Le système réel étudié maintenant peut être représenté par deux adiabatiques réversibles (a) et (c) et deux isobares (b) et (d), respectivement à Pl = 2.105 Pa et P2 = 7.105 Pa. ![]() En régime permanent, la machine frigorifique est en liaison avec une source chaude à la température T3 = 298 K et une source froide à la température Tl = 269 K.
corrigé Sur le cycle, pas de variation d'énergie interne, l'état final et l'état initial étant identique : W+SQ=0 Qa= Qc=0, transformations adiabatiques, donc W + Qb+Qd=0 soit W = -Qb-Qd. transformation isotherme B--> C : l'énergie interne ne varie pas et Wb+Qb=0 dWb=-PdV= - nRTbdV/V= -nRTbd(lnV) Wb= -nRTbln(Vc/Vb) soit Qb= nRTbln(Vc/Vb), négatif car Vc<Vb. de même, transformation isotherme D--> A : Qd= nRTdln(Va/Vd), positif car Va>Vd. Démontrons que : ln(Vc/Vb)= ln(Va/Vd) isothermes : PbVb=PcVc et PdVd=PaVa soit : Va /Vd=Pd/Pa et Vc /Vb=Pb/Pc(1) adiabatiques : PaVag= PbVbg et PdVdg= PcVcg soit : Pd/Pa[Vd/Va]g= Pc/Pb[Vc/Vb]g. en tenant compte de (1): Pd/Pa[Pa/Pd]g= Pc/Pb[Pb/Pc]g ou bien : [Pa/Pd]g-1=[Pb/Pc]g-1 soit : Pa/Pd = Pb/Pc en tenant compte de (1):Vc/Vb=Va/Vd e= Qd/W=
Td/(Tb-Td)=
269/(298-269)= 9,3.
A--> B adiabatique : PaVag= PbVbg soit Vb= [Pa/Pb]1/g Va= (2/7)1/1,304 *6 10-3 = 2,3 10-3 m3. PaVa=nRTa soit n= PaVa/(RTa) = 2 105*610-3/(8,31*269)=0,534 mol PbVb=nRTb soit Tb = PbVb/(nR)=7 105*2,310-3/(8,31*0,534)=362,8 K. Vc= nRTc/Pc= 0,534*8,31*298 /(7105)=1,89 10-3m3. C--> D adiabatique : PcVcg= PdVdg soit Vd= [Pd/Pc]1/g Vc= (7/2)1/1,304 *1,89 10-3 = 4,94 10-3 m3. Td = PdVd/(nR)=2 105*4,9410-3/(8,31*0,534)=222,6 K. B--> C: isobare : Qb= Cp(Tc-Tb) = 35,61*0,534(298-362,8)= -1292,2 J. D--> A: isobare : Qd= Cp(Ta-Td) = 35,61*0,534(269-222,6)=882,3 J. adiabatiques : Qa=Qc=0 Sur le cycle, pas de variation d'énergie interne W+SQ=0 ; donc W = - (Qb+Qd) e= Qd/W= 882,3/(1292,2-882,3)= 2,5.
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Un spectrogoniomètre classique à réseau comprend notamment les éléments suivants : - un collimateur qui donne d'une fente source verticale une image à l'infini - un réseau plan, par transmission, dont les traits sont verticaux et qui est éclairé par la lumière issue du collimateur - une lunette autocollimatrice qui permet d'observer la lumière transmise par le réseau et dont la position angulaire repérée par rapport à la normale au réseau est lue sur un cercle gradué de 0° à 360° (alidade).
corrigé ![]() Les rayons incidents sont parallèles ainsi que les rayons réfractés.. La différence de chemin optique entre le rayon passant par le point O et celui passant par le point homologue M vaut ( l'indice de l'air vaut 1) : OM = a OH-MH0 = a sin i'- a sin i0 = a( sini'-sin i0) avec a = 1/n ; n pas du réseau en nombre de traits / m. Le interférences sont constructives entre les ondes diffractées si la différence de marche est un multiple de la longueur d'onde l. 1/n ( sini'-sin i0) = kl avec k entier positif, nul ou négatif sin i'-sin i0
= kl
n.
|
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|