SVT, concours ASTPS Ouest 2020.

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1. La contamination par le coronavirus correspond  :
A.
� la multiplication du virus dans les cellules.
B. � la multiplication du virus dans le sang .
C.
au franchissement d'une barri�re naturelle par le virus.Vrai.
D. � l'entr�e du virus dans les cellules humaines.

2. L'infection virale correspond :
A. � une multiplication du virus dans le sang.
B.
au franchissement d'une barri�re naturelle par le virus.
 C. � la multiplication du virus dans les cellules. Vrai.
D. � la destruction du virus par les lymphocytes.

3. Les cellules capables de d�fendre l'organisme contre le coronavirus sont
A. les globules rouges du sang.
B. les globules blancs. Vrai

C. les plaquettes.
D. Les antibiotiques.

4. Une pand�mie est une maladie infectieuse qui se propage �
A. l'�chelle mondiale.
Vrai.
B. tr�s peu de r�gion du monde seulement.
C. � l'�chelle d'un seul pays.
D. � l'�chelle d'une r�gion d'un pays.

Un voyageur de retour de Wuhan en Chine pr�sente les sympt�mes suivants : fi�vre, toux. Son test est positif au caronavirus. Pris en charge par un service d'urgence, il demande au m�decin de lui d�livrer un antibiotique.

5. Celui-ci refuse car :
A. iln'existe pas d'antibiotique efficace contre ce nouveau virus.
B. les antibiotiques sont efficaces uniquement contre les virus responsables de la grippe.
 C. les antibiotiques sont efficaces contre tous les microorganismes sauf les virus.
D. les antibiotiques ne sont pas efficaces contre les virus. Vrai.

Un autre patient, pr�sentant les m�mes sympt�mes, est test� n�gativement au cairnavirus mais positivement � la bact�rie Hib. Le m�decin d�cide de lui prescrire des antibiotiques mais r�alise un antibiogramme afin de d�terminer l'antibiotique le plus efficace.


6. On peut conclure que :
A. seuls les antibiotiques 1 et 2 sont efficaces contre cette bact�rie.
 
B. la bact�rie est r�sistante aux antibiotiques 4 et 5.
 
C. la bact�rie est r�sistante aux antibiotiques 1 et 2. Vrai.
 
D. qu'il est n�cessaire de prescrire l'antibiotique 4.

Ce p�re de famille s'inqui�te pour ces deux enfants en bas �ge et craint de les avoir contamin�s. Apr�s v�rification de leuurs carnets de vaccination, le m�decin est en mesure de rassurer le patient en lui indiquant que ses enfants sont vaccin�s contre cette bact�rie.
7. La vaccination :
A. est une mesure d'antisepsie.
 B. 
est � l'origine du d�veloppement d'une maladie sous forme b�nigne.
 C. assure une protection gr�ce � la mise en place de la phagocytose.
D. Repose sur le principe de la m�moire immunitaire
. Vrai.

Afin de comprendre le principe de la vaccination, des exp�riences sont r�alis�es sur des souris. Le graphique suivant traduit l'�volution, en fonction du temps, de la quantit� d'anticorps dans le sang d'une souris ayant subi deux injections d'antig�nes.

8. Les anticorps sont des mol�cules :
A. produites par les lymphocytes B et capables de neutraliser les antig�nes.
Vrai.
 B. produites par les phagocytes B et capables de neutraliser les antig�nes.
C.capables de p�n�trer dans les cellules infect�es par un microorganisme.
D. produites par les lymphocytes T et capables de neutraliser les antig�nes.

9. D'apr�s le graphique la souris est prot�g�e contre  :
A. l'antig�ne X ou l'antig�ne Y d�s la premi�re injection.
B.
l'antig�ne X et l'antig�ne Y � la 8� semaine.
C. l'antig�ne X � la 5� semaine et contre l'antig�ne Y � la 12� semaine.
D. l'antig�ne X apr�s la 9� semaine. Vrai.


10. L'hypertrichose est un caract�re h�r�ditaire :
A. car il est porteur d'une maladie g�n�tique.
 B. car il est partag� par l'ensemble des membres d'une m�me famille.
 C.car il d�pend des conditions du milieu de vie.
D. car il peut �tre transmis � la descendance. vrai.



11. D'apr�s l'arbre g�n�alogique, on peut conclure que l'all�le responsable de la maladie est :
A. un all�le dominant.
B. r�cessif.
C. port� par le chromosome X.
D. port� par le chromosome Y. Vrai.

12. L'information n�cessaiire � la mise en place des caract�res h�r�ditaires est localis�e :
A. dans le noyau vrai ; B. dans le cytoplasme ; C. dans la membrane ; D. en dehors de la cellule.
  Le syndrome de Klinefelter affecte le d�veloppement physique d'individus de sexe masculin. Les individus ont g�n�ralement des petits testicules qui ne produisent pas autant de test�rone que la normale, ce qui conduit � une pubert� tardive et anormale.

13. Ce syndrone est :
A. une maladie g�n�tique d�e � un g�ne d�fectueux.
 B. d� � la pr�sence d'un chromosome sexuel suppl�mentaire. Vrai.
 C. d� � l'absence totale de testicule.
 D. d� � l'absence d'un chromosome Y.

14. La pubert� :
A. est anormale chez un gar�on atteint de ce syndrome. Vrai.
B. n'a pas lieu chez un gar�on atteint de ce syndrome.
C. intervient avant 6 ans
chez un gar�on atteint de ce syndrome.
D. a lieu normalement mais est simplement retard�e chez un gar�on atteint de ce syndrome.

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15. Un s�isme est provoqu� par :
A. une lib�ration brutale d'�nergie au niveau de l'�picentre.
 B.
une lib�ration brutale d'�nergie au niveau du foyer. Vrai.
C. une accumulation d'�nergie  au niveau de l'�picentre.
D.
une accumulation d'�nergie  au niveau du foyer.

16. Le risque sismique :
A. d�pend des enjeux et de l'al�a. Vrai.
B. d�pend uniquement de l'al�a.
C.
d�pend uniquement des enjeux.
D. est le m�me partout sur le globe.

17. L'intensit� d'un s�isme correspond � la mesure :
A. de la dur�e du s�isme.
 B. de la profondeur d'un s�isme.
C. du nombre de victime d'un s�isme.
 D. des effets d'un s�isme en un lieu donn�.
Vrai.

18. L'�picentre d'un s�isme :
A. mesure la quantit� d'�nergie lib�r�e par le s�isme.
B. correspond � la projection du foyer du s�isme � la surface.
C. est la fracture s�parant les deux blocs cr��s par le s�isme.
D.est le point de rupture des roches en profondeur.
Vrai.

19. Le s�isme de Lisbonne :
A. a pour origine une �ruption volcanique ayant entra�n� de nombreuses secousses et des incendies.
 B. a vu ses cons�quences aggrav�es par l'arriv�e d'une temp�te violente.
 C. a �t� accompagn� d'un tsunami car l'�picentre �tait localis� dans l'oc�an atlantique. vrai.
 D. a �t� accompagn� d'un tsunami caus� par l'effondrement de la ville dans l'oc�an.

20. A la surface de la terre, les s�ismes sont pr�sents :
A. le long des c�tes uniquement.
B. au niveau des cha�nes de montagnes uniquement.
C. au hasard, au niveau des continents.
D. souvent au niveau des fosses oc�aniques. Vrai.

21. Pour limiter les d�gats provoqu�s par un nouveau s�isme :
A. on peut �vacuer la zone plusieurs jours avant le s�isme.
B. on peut construire des b�timents aux normes parasismiques. Vrai.
C. On peut colmater les failles de la zone � risque.
D. on ne peut rien faire.

22. L'�tude de la vitesse des ondes sismiques :
A.  a permis de mettre en �vidence l'existence d'une zone de ralentissement des ondes sismiques � la limite entre lithosph�re et asth�nosph�re. Vrai.
B. montre que la vitesse des ondes sismiques augmente de fa�on r�guli�re avec la profondeur sous les oc�ans et les continents.
 C. montre que les ondes sismiques sont plus rapides sous les continents.
 D. montre que la vitesse des ondes sismiques diminue r�guli�rement en fonction de la profondeur.

23. D'apr�s les graphes, on peut conclure que :
A. l'ovulation a lieu juste avant le pic de LH.
 B. l'implant contraceptif stimule la production de LH.
 C. l'implant contraceptif permet un pic de LH le 14� jour.
 D. Le pic de LH d�clenche l'ovulation. Vrai.

24. LH est une hormone, ce qui signifie que :
A.  c'est une substance transport�e par les nerfs.
 B.c'est une substance lib�r�e dans l'air.
C. c'est une substance produite de la pubert� jusqu'� la m�nopause.
D. c'est une substance transport�e par le sang. Vrai.

25. Une m�thode de contraception assurant �galement une protection contre les IST est :
A. le st�rilet ; B. la cape cervicale ; C. le pr�servatif masculin vrai ; D. la pillule.

26. La PMA est une m�thode :
A.  de contraception pour les hommes ; B. de contraception pour les femmes ;
C. uniquement pour les couples o� l'homme est st�rile ;
 D. pour les couples rencontrant des difficult�s � concevoir naturellement un enfant. Vrai.

Il existe plusieurs m�thodes de PMA. Mr et Mme X ne peuvent pas avoir d'enfant. Mme ne pr�sente aucun probl�me. Les r�sultats suivants pr�sente les r�sultats du spermogramme de Mr X.
param�tres par �jaculation
r�f�rences mondiales
mr X
volume du sperme
1,5 mL
1,5 mL
nombre de spermatozo�des
39 millions
0
spermatozo�des vivants
58 %
0 %

27. D'apr�s les r�sultats pr�sent�s, la m�thode la plus indiqu�e est :
A. la f�condation in vitro et transfert d'embryon.
 B. l'ins�mination artificielle avec sperme du conjoint.
 C. l'ins�mination artificielle avec sperme d'un donneur. Vrai.
D. l'injection intracytoplasmique du spermatozo�de.

28. L'estomac est un lieu :
A. de digestion chimique et m�canique. Vrai.
 B. d'absorption des nutriments.
  C. de passage des aliments.
  D. de digestion chimique uniquement.

29. Juste apr�s l'estomac, le bol alimentaire arrive dans :
A. le foie; B. le pancr�as ; C. le gros intestin ; D. l'intestin gr�le. Vrai.

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30. Manger �quilibrer signifie manger :
A. des aliments de tous les groupes en quantit� �quivalente ;
 B.
des aliments de tous les groupes sans exc�s. Vrai.
 C. uniquement des aliments que l'on aime.
 D. uniquement des glucides et des protides.

31. Le microbiote intestinal est un ensemble de microorganismes :
A. dangereux pour l'�tre humain
.
B. qui participe � la digestion des aliments. Vrai.
C. identique chez tous les �tres humains.
D.
qui reste stable tout au long de la vie.

32. Les centres nerveux sont :
A. les nerfs ; B. les organes des sens ; C. le cerveau et les nerfs. D. la moelle �pini�re et le cerveau. Vrai.

33. Au niveau d'une synapse, le message nerveux :
A. est de nature �lectrique
; B.est de nature chimique vrai ; C.se propage dans les deux sens ; D. interrompt sa transmission.

34. Replacer dans l'ordre les �tapes de fonctionnement de la synapse :

A. a, b, c. B.
b, a, c. C. c, b, a. D. c, a, b. Vrai

35. Le cannabis :
A. augmente les capacit�s de m�morisation.

 B. perturbe le circuit de la r�compense. Vrai
 C. N'a pas d'influence sur le fonctionnement c�r�bral..
 D. a des effets limit�s dans le temps ( court terme) uniquement.


36. Le graphique ci-dessus montre que la pollution au plomb :
A. n'a pas de cons�quences sur la faune du sol
;
 B.
diminue le nombre d'annimaux de la m�sofaune et de la macrofaune ;
C. affecte seulement les animaux de la m�sofaune. Vrai ;
D. affecte seulement les animaux de la macrofaune.

La m�sofaune participe � la fragmentation de la liti�re en fins d�briis qui sont ensuite d�grad�s par les microorganismes ( non impact�s par la pollution).

37. L'�paisseur anormale de liti�re dans la zone pollu�e s'explique par le fait que la pollution au plomb :
A. d�truit la faune et les microorganismes du sol qui interviennent normalement dans la d�gradation de la liti�re.
B. diminue le nombre d'annimaux de la m�sofaune. La liti�re est ainsi moins fragment�e et l'action des microorganismes est ralentie.
Vrai.
C. entra�ne une augmentation de la chute des feuilles des arbres.
D. stimule la croissance des v�g�taux et des arbres..

38. Les activit�s humaines :
A. modifient les �cosyst�mes.
Vrai.
B. ne modifient pas les �cosyst�mes.
C. ont toujours un impact n�gatif sur les �cosyst�mes.
D. n'ont que des effets positis sur les �cosyst�mes.

Le tiktaalik est un animal disparu qui poss�dait � la fois des branchies et des poumons. Son corps �tait recouvert d'�cailles non soud�s. Il avait un cou mobile et des membres articul�s comme un poignet et termin�s par des nageoires charnues.  Les scientiques ont �tabli un arbre de parent�.

39. Sur l'arbre de parent�, un noeud indique :
A. un caract�re commun.

B. un cha�non manquant.
C.  un fossile.
D. 
un anc�tre commun. Vrai

40. On peut dire que le tiktaalik :
A. est l'anc�tre des amphibiens et des l�zards.
B. a pour anc�tres les poissons � nageoires.
C. �tait un animal aquatique et terrestre.
D. �tait un animal aquatique uniquement. Vrai.
 

  

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