Physique
chimie, choix d'un moyen de transport, des esters qui flattent nos
cellules olfactives,
teneur en fer d'un produit sanitaire.
E3C : enseignement de sp�cialit� premi�re g�n�rale.
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Choix
d'un moyen de transport.
1. Voiture diesel ou
voiture essence ?
Les �missions de dioxyde de carbone dues aux transports d�pendent,
entre autres, du carburant utilis�. On se propose, en r�pondant aux
questions de cette premi�re partie, de construire un argumentaire
scientifique permettant de valider ou d’invalider cette affirmation.
Les deux carburants �tudi�s sont le gasoil et l’essence sans plomb. On
admet qu’ils sont respectivement mod�lis�s par du dod�cane (C12H26)
pour l’un et de l’octane (C8H18) pour l’autre.
Un v�hicule diesel consomme 5,0 L de gasoil aux 100 km et produit 120g
de CO2 par kilom�tre parcouru.
1.1.L’�quation de
la r�action mod�lisant la combustion du dod�cane s’�crit :
C12H26 (l) + 18,5 O2 (g) -->
12 CO2 (g) + 13 H2O (g)
1.1.1. Repr�senter
le sch�ma de Lewis du dioxyg�ne, du dioxyde de carbone et de l’eau.

1.1.2. D�terminer
la quantit� de mati�re de dioxyde de carbone rejet� par la voiture
diesel par kilom�tre parcouru.
120 / M(CO2) = 120 / 44 = 2,73 mol.
1.1.3. En d�duire
la quantit� de mati�re de dod�cane consomm� par kilom�tre parcouru.
2,73 / 12 = 0,227 mol.
1.1.4. Montrer, �
l’aide des donn�es, qu’une estimation de l’�nergie molaire de
combustion du dod�cane est E’m = - 7,50 103 kJ.mol-1.
Indiquer pourquoi il s’agit d’une estimation.
Liaisons rompues : 26 C-H ; 11 C-C et 18,5 O=O.
Liaisons form�s : 24 C=O et 26 O-H.
E'm =26 E C-H +11 E C-C +18,5 EO=O
-(24 EC=O +26 EO-H).
E'm =26 x415 +11 x348 +18,5 x498 -(24 x804 +26 x463)= -7,5 10-3
kJ / mol.
Il s'agit d'une estimation, car dans la r�alit� la combustion n'est pas
toujours compl�te.
1.1.5. En d�duire
l’�nergie lib�r�e Elib par la combustion du gasoil pour un
kilom�tre parcouru.
Elib = -7,50 103 x0,227 = -1,7 103 kJ.
1.2.Une voiture
essence de motorisation �quivalente lib�re une �nergie li�e � la
combustion de l’essence E’lib = - 1,7 103 kJ par
kilom�tre parcouru.
1.2.1. Montrer que
la masse de dioxyde de carbone �mise par la voiture � essence par
kilom�tre parcouru vaut m’ = 1,2 102 g.
Energie molaire de combustion de l'octane : E m = -5,1 103
kJ / mol.
Quantit� de mati�e d'octane par km parcouru : Em / E'lib
=1,7 / 5,1 =0,333 mol km-1.
Quantit� de mati�e de CO2 par
km parcouru : 8 x0,333 = 2,67 mol km-1.
Masse correspondante : 2,67 x44 =117 g km-1.
1.2.2. Commenter le r�sultat obtenu
et r�diger un conseil argument� sur le choix du v�hicule � utiliser
pour minimiser l’impact sur le r�chauffement climatique. On s’attachera
notamment � montrer si le crit�re de la consommation par kilom�tre
parcouru est un indicateur suffisant.
A puissance �gale, la motorisation essence ou diesel produisent la m�me
quantit� de dioxyde de carbone par kilom�tre parcouru. crit�re
n'est pas � retenir pour le choix d'un v�hicule, dans le but de limiter
l'impact sur le r�chauffement climatique.
Il vaudrait mieux limiter le volume de carburant consomm� en
s'orientant vers un v�hicule hybride ou �lectrique.
2. Quel moyen de transport
choisir ?
Un salari� d’une entreprise de conseil en d�veloppement durable doit
effectuer un aller-retour Bordeaux-Paris pour aller d�fendre un projet
d’am�nagement. Les deux villes sont distantes de d = 546 km. Soucieux
de l’environnement, il �tudie les diff�rentes solutions alternatives �
la voiture, comme le train (ligne TGV) et l’avion afin de r�duire son
empreinte carbone.
L'empreinte � carbone � est la mesure de la quantit� de dioxyde de
carbone �mis, suite � la combustion d'�nergies fossiles, par une
activit�, un produit (depuis quelques ann�es cette information est
disponible sur l'�lectrom�nager, les offres immobili�res, les
v�hicules), une prestation.
Le site � oui.sncf � propose un calculateur des �missions de dioxyde de
carbone lors d’un voyage en train. On y trouve notamment l’information
suivante :
Emissions de CO2 d’un voyageur parcourant un kilom�tre, par
type de train SNCF (bas�es sur les consommations d’�nergie (source :
R�seau de transport d’�lectricit�s (Rte), 2017) et fr�quentations de
2017) :
Train TGV : 2,4 g de CO2 par kilom�tre
Train Intercit�s : 8,1 g de CO2 par kilom�tre
Train TER : 29,4 g de CO2 par kilom�tre
Train Transilien / RER : 5,4 g de CO2 par kilom�tre
D’apr�s https://fr.wikipedia.org et https://www.oui.sncf.
Le combustible utilis� dans les moteurs d’avion est le k�ros�ne. C’est
un m�lange complexe d’alcanes, principalement des mol�cules comportant
11 atomes de carbone de formule brute C11H24.
Des calculateurs en ligne permettent d’�valuer la masse de CO2
�mis par voyageur lors d’un voyage en avion.
Le r�sultat de la simulation est donn� ci-dessous.
Aller retour Bordeaux paris 1100 km : quantit� CO2 = 0,306
tonne.
En s’appuyant sur les informations donn�es ci-dessus et les r�sultats
trouv�s � la partie 1, r�aliser une �tude compar�e qui permettra au
salari� de l’entreprise d’identifier, parmi les trois propos�s, le mode
de transport le plus �cologique au niveau des �missions de dioxyde de
carbone pour effectuer un aller-retour Bordeaux-Paris.
Avion : 0,306 tonne CO2.
Train TGV : 2,4 x2 x546 =2621 g = 2,62 kg de CO2.
Train intercit�s : 8,1 x2 x546 =8845 g = 8,84 kg de CO2.
Voiture : 120 x 2 x 546 =1,31 105 g = 131 kg CO2.
On prendra le train TGV.
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Des
esters qui flattent nos cellules olfactives.
Cet exercice propose d’�tudier quelques esters pr�sents dans les ar�mes
alimentaires et de comparer les rendements d’une est�rification
effectu�e selon deux protocoles, l’un effectu� avec un chauffage usuel
et l’autre sous micro-ondes.
1. L’ar�me de fraise.
L’acide m�thylpropano�que est l’un des r�actifs utilis�s pour la
synth�se de l’ester A, il est pr�sent parmi les trois compos�s oxyg�n�s
E, F et G dont les formules semi-d�velopp�es sont donn�es ci-dessous.
1.1. Recopier les
formules des mol�cules de ces trois compos�s, puis entourer et nommer
les familles de compos�s associ�es.

1.2. Identifier
l’acide m�thylpropano�que parmi les trois compos�s E, F et G. Justifier
son nom.
E : acide m�thylpropano�que.
La chaine principale compte trois atomes de carbone ; elle rappelle
celle du propane.
Un groupe m�thyle CH3 est fix� sur le carbone n� 2.
Il s'agit d'un acide carboxylique. On ajoute le mot acide devant le nom
et le "e" terminal du mot propane est remplac� par " o�que".
2. L’ar�me d’agrumes.
Le compos� H, dont une formule est repr�sent�e ci-apr�s, est un des
r�actifs utilis�s pour synth�tiser l’ester B � l’ar�me d’agrumes.

2.1. Les compos�s
H, I et J sont-ils des isom�res ? Justifier.
Il poss�de la m�me formule brute C10 H22 O
et des formules semi-d�velop�es diff�rentes : ce sont des isom�res.
2.2. Le compos� H
est appel� d�can-1-ol. Justifier son nom.
10 atomes de carbone sur une chaine lin�aire ( non ramifi�e) et une
fonction alcool en bout de chaine.
2.3. Repr�senter,
sur votre copie, la formule topologique du compos� I, puis entourer sa
cha�ne carbon�e la plus longue et nommer le(s) groupe(s) substitu�s(s)
sur cette chaine et caract�ristique(s) �ventuel(s).

2 groupes m�thyle et un groupe hydroxyle sont substitu�s sur la plus
longue chaine carbon�e.
Les atomes de carbone 2 et 5 sont asym�triques.
3. Synth�se d’un ester �
l’ar�me d’ananas : comparaison des rendements obtenus par deux
protocoles diff�rents
L’�quation de la r�action mod�lisant la synth�se de l’ester D de
formule brute C6H12O2 pr�sent dans
l’ar�me d’ananas est :
C4 H8O2(l) + C2H6O(l)
-->C6H12O2(l) + H2O(l).
Il est possible de r�aliser la synth�se de l’ester D selon deux
protocoles.
Protocole n�1
: synth�se par chauffage � reflux.
Ce protocole permet d’obtenir un rendement maximal de 67% si les deux
r�actifs sont introduits en quantit�s de mati�re �gales. Pour
l’augmenter, il est possible entre autres, d’introduire l’un des
r�actifs en exc�s. C’est le choix fait dans le protocole qui suit.
Introduire dans un ballon, 40,0 mL d’�thanol, 40,0 mL d’acide
butano�que et 1,0 mL d’acide sulfurique concentr�.
Chauffer � reflux pendant 30 min
Refroidir jusqu’� temp�rature ambiante puis verser le contenu du
ballon dans un b�cher contenant 100 mL d’eau sal�e.
Transvaser le m�lange dans une ampoule � d�canter.
Isoler et laver la phase organique. On obtient une masse de 35,7 g
d’ester.
Protocole n�2
: synth�se sous micro-ondes
Pour ce protocole, on choisit d�lib�r�ment de m�langer les deux
r�actifs en quantit�s de mati�re �gales.
Introduire dans un b�cher, 25,4 mL d’�thanol (soit 4,36 x 10-1
mol), 40 mL d’acide butano�que (soit 4,36 x 10-1 mol) et 1
mL d’acide sulfurique concentr�.
Placer le b�cher dans le four � micro-ondes et irradier la solution
par de courtes p�riodes � 1000 W.
Transvaser le m�lange dans une ampoule � d�canter.
Isoler et laver la phase organique. On obtient une masse de 47,5 g
d’ester.
3.1. �tude du
protocole n�1
3.1.1. L�gender le
sch�ma du dispositif de chauffage � reflux. Et d�crire le r�le de
chacun de ces �l�ments.

Les vapeurs se condensent dans le r�frig�rant � eau et retombent
dans le milieu r�actionnel.
L'�l�vateur � croisillons permet de monter ou descendre le ballon.
3.1.2. Expliquer
l’int�r�t de verser, apr�s les 30 min de chauffage, le m�lange
r�actionnel refroidi dans de l’eau sal�e.
L'ester est insoluble dans l'eau sal�e. Il se s�pare de la phase
aqueuse.
3.2. D�termination
du rendement obtenu en suivant le protocole n�1.
3.2.1. D�terminer
le r�actif limitant lors de la mise en oeuvre du protocole n�1.
Ethanol : 40 mL ; masse volumique : 0,79 g / mL ; masse molaire : 46 g
/ mol.
n(�thanol) = 40 x 0,9 / 46 =0,78 mol.
Acide butaano�que : 40 mL ; masse volumique :0,96 g / mL ; masse
molaire 88 g / mol.
n(acide butano�que) = 40 x 0,96 / 88 =0,44 mol ( en d�faut, r�actif
limitant ).
3.2.2. En d�duire
le rendement de la synth�se. Commenter.
On peut esp�rer au mieux obtenir 0,44 mol d'ester.
M(ester) = 116 g / mol ; masse = 0,44 x 116 =50,6 g.
Rendement : masse r�elle / masse th�orique = 35,7 / 50,6 ~0,71 ( 71 %).
En introduisant un r�actif en exc�s, le rendement augmente.
3.3. Calculer le
rendement de la synth�se obtenu � partir du protocole n�2.
On peut esp�rer au
mieux obtenir 0,436 mol d'ester.
M(ester) = 116 g / mol ; masse = 0,436 x 116 =50,6 g.
Rendement : masse
r�elle / masse th�orique = 47,5 / 50,6 ~0,94 ( 94 %).
Proposer, en quelques
lignes, une analyse comparative critique des deux protocoles.
Lors de l'utilisation du micro-ondes, on �limine une partie de l'eau
form�e, ce qui d�place l'�quilibre dans le sens direct, formation de
l'ester.
Le protocole n�2 est plus facile � mettre en oeuvre, mais il comsomme
sans doute plus d'�nergie �lectrique.
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Teneur en
fer d'un produit sanitaire. La teneur en fer d’un produit phytosanitaire anti-chlorose est indiqu�e sur son emballage : 6,0 % en masse.
L’objectif de cet exercice est d’envisager un titrage par spectrophotom�trie adapt� au contr�le de qualit� de ce produit.
1. Choix du r�actif titrant.
Pour r�aliser le titrage des ions ferreux, Fe2+, contenus
dans un produit phytosanitaire destin� � lutter contre la chlorose
ferrique, on dispose de deux solutions titrantes possibles :
Une solution de peroxodisulfate de potassium acidifi�e (2K+(aq)+S2O82-(aq)) de concentration 0,10 mol.L-1.
Une solution de permanganate de potassium acidifi�e (K+(aq)+MnO4-(aq)) de concentration molaire 0,10 mol.L-1.
Les ions peroxodisulfate comme les ions permanganate r�agissent en solution aqueuse avec les ions Fe2+. Un test avec une solution aqueuse d’hydroxyde de sodium, apr�s r�action entre
les ions Fe2+ et les ions S2O82- ou MnO4- , conduit au m�me pr�cipit� rouille d’hydroxyde de fer(III)..
1.1.Pr�ciser la nature de la transformation chimique qui se produit quand on m�lange des ions Fe2+ et des ions peroxodisulfate S2O82- d’une part ou permanganate MnO4- d’autre part, que
le test avec une solution aqueuse d’hydroxyde de sodium met en �vidence.
Oxydation des ions Fe2+ en ion Fe3+.
1.2.�crire les �quations des r�actions mod�lisant les transformations chimiques mettant en jeu :
les ions Fe2+ et les ions S2O82- d’une part,
les ions Fe2+ et les ions MnO4-d’autre part.
2Fe2+ aq--> 2Fe3+aq + 2e-.
S2O82- aq + 2e- --> 2SO42-aq.
Ajouter puis simplifier : 2Fe2+ aq + S2O82- aq --> 2Fe3+aq +2SO42-aq.
5 fois { Fe2+ aq-->Fe3+aq + e- }
MnO4- aq +8H+aq +5e- --> Mn2+aq +4H2O
MnO4- aq +8H+aq +5e- + 5Fe2+ aq--> Mn2+aq +4H2O +5Fe3+aq +5e- .
MnO4- aq +8H+aq + 5Fe2+ aq--> Mn2+aq +4H2O +5Fe3+aq .
1.3.Montrer,
en vous r�f�rant � la couleur de chaque solution titrante, qu’il est
plus judicieux de choisir la solution de permanganate de potassium pour
r�aliser le titrage des ions
ferreux contenus dans le produit phytosanitaire, la coloration due aux ions ferreux (Fe2+) ou ferrique (Fe3+) en solution aqueuse �tant tr�s peu perceptible.
Seul l'ion permanganate poss�de une forte coloration violette, les autres ions sont incolores.
1.4.D�finir l’�quivalence d’un titrage.
A l'�quivalence les r�actifs sont en proportions stoechiom�triques.
Avant l'�quivalence, le r�actif titr� est en exc�s, apr�s l'aquivalence
le r�actif titrant est en exc�s.
2. Mise en oeuvre du titrage
2.1.La
solution de permanganate de potassium �tant trop concentr�e, il est
n�cessaire de la diluer 5 fois avant de l’utiliser pour le titrage.
Choisir la verrerie adapt�e � cette dilution. Justifier.
Le volume de la fiole jaug�e (50,0 mL par exemple) doit �tre 5 fois plus grand que celui de la pipette jaug�e ( 10,0 mL).
2.2.Expliquer
pourquoi certaines verreries sont associ�es � des capacit�s not�es 100
mL, 50 mL, 10 mL, et d’autres � des capacit�s de 100,0 mL, 50,0 mL,
10,0 mL.
Les verreries de capacit�s 100 mL, 50 mL .. sont moins pr�cises que les verreries de capacit�s 100,0 mL, 50,0 mL...
2.3.Le
produit phytosanitaire se pr�sente sous la forme d’une poudre. Afin de
r�aliser le titrage, on dissout 100,0 g de produit dans de l’eau et on
compl�te avec de l’eau de fa�on
� obtenir 1,0 L de solution.
2.3.1.
On pr�l�ve 10,0 mL de cette solution qu’on introduit dans un
erlenmeyer. Choisir la verrerie utilis�e pour pr�lever ces 10,0 mL.
Pipette jaug�e de 10,0 mL.
2.3.2. Sch�matiser et l�gender le montage utilis� afin de r�aliser le titrage.

3. Exploitation du r�sultat du titrage
3.1.Le titrage est r�alis� plusieurs fois. On note VE,
le volume de solution de permanganate de potassium vers� pour atteindre
l’�quivalence pour chaque titrage r�alis�. Les r�sultats
sont rassembl�s dans le tableau suivant :
Mesure
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
7
|
8
|
9
|
10
|
VE (mL)
|
11,0
|
10,6
|
10,4
|
10,6
|
10,8
|
10,5
|
10,7
|
10,9
|
11,2
|
11,0
|
3.1.1. L’incertitude-type u(VE), de type A, sur cette s�rie de mesures est �gale � 0,080 mL. �crire le r�sultat de la mesure pour VE.
Valeur moyenne de VE : 10,77 mL.
VE =10,77 � 0,080 mL.
3.1.2.
Une autre m�thode de d�termination de l’incertitude-type sur le volume
�quivalent aurait pu �tre prise en compte. Pr�ciser sa nature.
u(VE) = �cart type / 10� ou encore :
u(VE) / VE =[( pr�cision sur la concentration de la solution titrante / concentration solution titrante ) 2 + (pr�cision sur le volume de la solution titr�e / volume solution titr�e ) 2]�.
3.1.3. D�terminer la teneur en masse d’ions ferreux pr�sente dans l’�chantillon de 10,0 mL de solution titr�e pr�lev�.
A l'�quivalence, quantit� de mati�re d'ion permanganate : n =10,77 x 0,10 / 5 = 0,2154 mmol.
Quantit� de mati�re d'ion fer (II) : 5 x0,2154 =1,077 mmol dans 10,0 mL.
Concentration en ion fer (II) : 1,077 /10 = 0,1077 mol / L.
Concentration masique : 0,5385 x M(Fe) = 0,1077 x 56,0 =6,03 ~6,0 g / L dans 100 g de poudre. ( environ 6 % en masse ).
3.2.
Un titrage par spectrophotom�trie peut-il �tre adapt� au contr�le de la
teneur en fer du produit phytosanitaire indiqu�e sur l’emballage ?
Il faudrait que l'ion Fe2+ soit le seul ion pr�sentant un maximum d'absorption dans le domaine UV visible.
C'est possible, en pr�sence d'o-ph�nanthroline, les ions Fe2+ r�agissent avec apparition d'une coloration rouge. La concentration des ions Fe2+ de cette solution peut alors �tre d�termin�e par la mesure de son absorbance � une certaine longueur d'onde (ici 500 nm ).
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