Math�matiques, suites, fonctions, Bac M�tropole Antilles 2022.

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Dans le cadre d’un essai clinique on envisage deux protocoles de traitement d’une maladie. L’objectif de cet exercice est d’�tudier, pour ces deux protocoles, l’�volution de la quantit� de m�dicament pr�sente dans le sang d’un patient en fonction du temps. Les parties A et B sont ind�pendantes.
 Partie A : �tude du premier protocole
Le premier protocole consiste � faire absorber un m�dicament, sous forme de comprim�, au patient. On mod�lise la quantit� de m�dicament pr�sente dans le sang du patient, exprim�e en mg, par la fonction f d�finie sur l’intervalle [0; 10] par
 f (t) = 3te −0,5t+1 , o� t d�signe le temps, exprim� en heure, �coul� depuis la prise du comprim�.
1. a. On admet que la fonction f est d�rivable sur l’intervalle [0; 10] et on note f ′ sa fonction d�riv�e. Montrer que, pour tout nombre r�el t de [0; 10], on a : f ′ (t) = 3(−0,5t +1)e−0,5t+1 .
On pose u = 3t et v = e-0,5t+1 ; u' = 3 ; v' = -0,5e-0,5t+1 ;
u'v+v'u = 3
e-0,5t+1 -1,5t e-0,5t+1 = 3(−0,5t +1)e−0,5t+1 .
 b. En d�duire le tableau de variations de la fonction f sur l’intervalle [0; 10].
3 e-0,5t+1 est positif ; la d�riv�e a le signe de -0,5 t+1.
Si 0 < t < 2, f '(t) > 0 et f(t) est croissante.
Si 2 < t < 10, f '(t)  < 0 et f(t) est d�croissante.
Si t = 2, f '(t) =0 et f(t) pr�sente un maximum f(2) = 6.

c. Selon cette mod�lisation, au bout de combien de temps la quantit� de m�dicament pr�sente dans le sang du patient sera-t-elle maximale ? Quelle est alors cette quantit� maximale ?
Au bout de 2 heures, la quantit� est maximale �gale � 6 mg.
 2. a. Montrer que l’�quation f (t) = 5 admet une unique solution sur l’intervalle [0; 2] not�e a, dont on donnera une valeur approch�e � 10−2 pr�s.
Sur l'intervalle [0 ; 2] la fonction est continue et strictement croissante � valeurs dans [0 ; 6]. 5 appartient � cet intervalle.
D'apr�s le corollaire du th�or�me des valeurs interm�diaires, l'�quation f(t) = 5 admet une solution unique.
La calculatrice donne a ~1,02.
On admet que l’�quation f (t) = 5 admet une unique solution sur l’intervalle [2; 10], not�e β, et qu’une valeur approch�e de β � 10−2 pr�s est 3,46.
 b. On consid�re que ce traitement est efficace lorsque la quantit� de m�dicament pr�sente dans le sang du patient est sup�rieure ou �gale � 5 mg. D�terminer, � la minute pr�s, la dur�e d’efficacit� du m�dicament dans le cas de ce protocole.
t appartient � [ a ; �] soit t = 3,46 -1,02 = 3,44 h ou 3 h et 26 minutes.

Partie B : �tude du deuxi�me protocole
Le deuxi�me protocole consiste � injecter initialement au patient, par piq�re intraveineuse, une dose de 2 mg de m�dicament puis � r�injecter toutes les heures une dose de 1,8 mg. On suppose que le m�dicament se diffuse instantan�ment dans le sang et qu’il est ensuite progressivement �limin�. On estime que lorsqu’une heure s’est �coul�e apr�s une injection, la quantit� de m�dicament dans le sang a diminu� de 30 % par rapport � la quantit� pr�sente imm�diatement apr�s cette injection. On mod�lise cette situation � l’aide de la suite (un) o�, pour tout entier naturel n, un d�signe la quantit� de m�dicament, exprim�e en mg, pr�sente dans le sang du patient imm�diatement apr�s l’injection de la n-i�me heure. On a donc u0 = 2.
1. Calculer, selon cette mod�lisation, la quantit� u1, de m�dicament (en mg) pr�sente dans le sang du patient imm�diatement apr�s l’injection de la premi�re heure.
u1 = 0,7 u0+1,8 =0,7 x 2 +1,8 =3,2 mg.
 2. Justifier que, pour tout entier naturel n, on a : un+1 = 0,7un +1,8.
un : quantit� de m�dicament dans le sang � la n-i�me heure.
Une heure plus tard, il reste 0,7 un mg de m�dicament dans le sang.
Enfin on injecte 1,8 mg de m�dicament dans le sang.
 3. a. Montrer par r�currence que, pour tout entier naturel n, on a : un < un+1 < 6.
Initialisation : u1 = 3,2 et u0 = 2. La propri�t� est vraie au rang 1.
H�r�dit� : un < un+1 < 6 est suppos�e vraie.
0,7 un < 0,7 un+1 <  6x 0,7 = 4,2.
0,7 un+1,8  < 0,7 un+1 +1,8 <4,2 +1,8 = 6.
un+1 < un+2 < 6. La propri�t� est vraie au rang n+1.
Conclusion : la propri�t� est vraie au rang 1 et h�r�ditaire, elle est donc vraie pour tout entier naturel n.
 b. En d�duire que la suite (un) est convergente.
La suite est croissante et major�e par 6, donc d'apr�s le th�or�me de convergence monotone, elle converge.
On note ℓ sa limite.
c. D�terminer la valeur de ℓ. Interpr�ter cette valeur dans le contexte de l’exercice.
A la limite : un =un+1= ; l = 0,7 l +1,8 ; l =6.
 4. On consid�re la suite (vn) d�finie, pour tout entier naturel n, par vn = 6−un.
a. Montrer que la suite (vn) est une suite g�om�trique de raison 0,7 dont on pr�cisera le premier terme.
vn+1 = 6-un+1.
vn+1 = 6- 0,7un -1,8= 4,2 -0,7 un = 0,7(6-un) =0,6 vn.
La suite (vn) est g�om�trique de raison q = 0,7 et de premier terme v0 = 6-u0 = 4.

b. D�terminer l’expression de vn en fonction de n, puis de un en fonction de n.
vn = 4 x0,7n ; un = 6-vn = 6-4 x0,7n.
c. Avec ce protocole, on arr�te les injections lorsque la quantit� de m�dicament pr�sente dans le sang du patient est sup�rieure ou �gale � 5,5 mg. D�terminer, en d�taillant les calculs, le nombre d’injections r�alis�es en appliquant ce protocole.
6-4 x0,7n > 5,5 ; 0,5 > 4 x0,7n ; 0,5 / 4 = 0,125 > 0,7n ;
ln(0,125) > n ln(0,7).
n > ln(0,125) / ln (0,7) ; n > 6 heures.
Soit un total de 7 injections.

QCM.
1. La courbe repr�sentative de la fonction f d�finie sur R par f (x) = (−2x 2 +3x −1 ) / (x 2 +1) admet pour asymptote la droite d’�quation :
 a. x = −2 ; b. y = −1 ; c. y = −2 ; d. y = 0 2.
Mettre x2 en facteur commun et simplifier :
f(x) = (-2 +3/x-1/x2) /(1+1/x2).
Quand x tend vers plus l'infini, 1 /x et 1 /x2 tendent vers z�ro. Par suite f(x) tend vers -2.
La droite d'�quation y =-2 est asymptote � la courbe repr�sentant la fonction f.

 Soit f la fonction d�finie sur R par f (x) = x exp( x 2) . La primitive F de f sur R qui v�rifie F(0) = 1 est d�finie par :
 a. F(x) = 0,5x 2 exp(x2) ; b. F(x) =  0,5 exp(x2)  ;  c. F(x) =( 1+2x 2  exp(x2) ; d. F(x) = 0,5 + 0,5 exp(x2) .
F(0) = 1, donc les propositions a et b ne conviennent pas.
On d�rive
F(x) =( 1+2x 2 exp(x2)  en posant u = 1+2x 2 et v = exp(x2).
u' = 4x ; v' = 2x
exp(x2).
u'v +v'u = exp(x2) (4x+2x(1+2x2), diff�re de f(x).
On d�rive F(x) =0,5+0,5 exp(x2) ; F '(x) =0,5 *2x exp(x2) = x exp(x2) = f(x)

 3. On donne ci-contre la repr�sentation graphique Cf ′ de la fonction d�riv�e f ′ d’une fonction f d�finie sur R. On peut affirmer que la fonction f est :
a. concave sur ]0 ; +∞[ ; b. convexe sur ]0 ; +∞[ ; c. convexe sur [0; 2] ; d. convexe sur [2 ; +∞[.

f ' est croissante si x appartient � ] -oo ; 3 ] et d�croissante sur [3 : +oo[.
f " est donc positive sur ] -oo ; 3 ] et n�gative sur [3 : +oo[.
f est convexe sur
] -oo ; 3 ] donc sur [0 ; 2].

4. Parmi les primitives de la fonction f d�finie sur R par f (x) = 3exp(−x 2) +2 :
a. toutes sont croissantes sur R ; b. toutes sont d�croissantes sur R ;
 c. certaines sont croissantes sur R et d’autres d�croissantes sur R ;
d. toutes sont croissantes sur ] − ∞ ; 0] et d�croissantes sur [0 ; +∞[.
f(x) est positive sur R ; les primitives de la fonction f , ont pour d�riv�e f.
Donc les fonctions primitives sont croissantes sur R.

 5. La limite en +∞ de la fonction f d�finie sur l’intervalle ]0 ; +∞[ par f (x) = 2lnx / (x 2 +1) est �gale � :
a. 2 / 3 ; b. +∞ ; c. −∞ ; d. 0.
f(x) = ln (x2 )/ (x2+1). Mettre x2 en facteur commun est simplifier :
f(x) =[ln(x2 / x2 ] / (1+1/x2).
En plus l'infini, par croissance compar�e ln(x2 / x2 ] tend vers z�ro et 1 /x2 tend vers z�ro.
 6. L’�quation e2x +e x −12 = 0 admet dans R : a. trois solutions ; b. deux solutions ; c. une seule solution ; d. aucune solution.
On pose X = ex >0.
X2 +X=12=0.
Discriminant D =12 -4(-12) = 49 = 72.
On retient la solution positive X1 =(-1+7) / 2 = 3 soit x = ln(3).
 

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QCM.
  Pour les questions 1 � 3 ci-dessous, on consid�re une fonction f d�finie et deux fois d�rivable sur R. La courbe de sa fonction d�riv�e f ′ est donn�e ci-dessous. On admet que f ′ admet un maximum en − 3/ 2 et que sa courbe coupe l’axe des abscisses au point de coordonn�es (-0,5 ; 0).

 Question 1 : a. La fonction f admet un maximum en − 3 /2 ; b. La fonction f admet un maximum en − 1 / 2 ;
 c. La fonction f admet un minimum en − 1/ 2 ; d. Au point d’abscisse −1, la courbe de la fonction f admet une tangente horizontale.
f ' est positive sur ]-oo ; -0,5[ ; f(x) est croissante sur cet intervalle.
f ' est n�gative sur ]-0,5 ; +oo[ ; f(x) est d�croissante sur cet intervalle.
f ' s'annule en x = -0,5 ; f(x) admet un maximum.

 Question 2 : a. La fonction f est convexe sur ] −∞ ; − 3/ 2 [ ; b. La fonction f est convexe sur � ]−∞ ; − 1/ 2[ ;
c. La courbe Cf repr�sentant la fonction f n’admet pas de point d’inflexion ; d. La fonction f est concave sur ] −∞ ; − 1 /2 | .
f ' est croissante sur ] −∞ ; − 3/ 2 [ et d�croissante sur ]-3 / 2 ; +oo[.
Donc f " est positive sur ] −∞ ; − 3/ 2 [ et n�gative sur ]-3 / 2 ; +oo[.
f est convexe sur ] −∞ ; − 3/ 2 [.

Question 3 : La d�riv�e seconde f ′′ de la fonction f v�rifie :
a. f ′′(x) > 0 pour x ∈ ] −∞ ; − 1/ 2 [ ; b. f ′′(x) > 0 pour x ∈ [−2 ; −1] ;  c. f ′′ (− 3/ 2) = 0 ; d. f ′′(−3) = 0.
f '(x)admet un maximum en x = -3/ 2; donc f " est nulle en x = -3 / 2.

 Question 4 : On consid�re trois suites (un), (vn) et(wn). On sait que, pour tout entier naturel n, on a : un < vn < wn et de plus :
  la limite en plus l'infini de un est �gale � 1 ;
la limite en plus l'infini de wn est �gale � 3.
. On peut alors affirmer que : a. la suite (vn) converge ; b. Si la suite (un) est croissante alors la suite (vn) est minor�e par u0 ;
 c. 1 < v0 < 3; d. la suite (vn) diverge.
Si (un) est croissante, pour tout entier naturel, u0 < un < vn.
Donc la suite (vn) est minor�e par u0.

Question 5 : On consid�re une suite (un) telle que, pour tout entier naturel n non nul : un < un+1 < 1 / n . On peut alors affirmer que :
 a. la suite (un) diverge; b. la suite (un) converge; c. la limite en +oo de (un) est nulle ;
d. la limite en +oo de (un) est �gale � 1.
La suite est croissante.
Pour n diff�rent de z�ro : un < un+1 < 1 / n < 1.
La suite est croissante et major�e par 1, donc elle converge.

Question 6 : On consid�re (un) une suite r�elle telle que pour tout entier naturel n, on a : n < un < n +1. On peut affirmer que :
 a. Il existe un entier naturel N tel que uN est un entier ; b. la suite (un) est croissante ;
c. la suite (un) est convergente; d. La suite (un) n’a pas de limite.
Au rang n, on a : n < un < n +1.
Au rang n+1, on a : n+1 < un+1 < un+2.
Donc un < n+1 < un+1 : la suite est croissante.
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  Etude de deux fonctions.
Partie A :
 On consid�re les deux fonctions f et g d�finies sur l’intervalle [0 ; +∞[ par : f (x) = 0,06( −x 2 +13,7x ) et g(x) = (−0,15x +2,2)e0,2x −2,2. On admet que les fonctions f et g sont d�rivables et on note f ′ et g ′ leurs fonctions d�riv�es respectives. 1. On donne le tableau de variations complet de la fonction f sur l’intervalle [0 ; +∞[.

a. Justifier la limite de f en +∞.
f (x) = 0,06x2( −1 +13,7 / x )
En plus l'infini :  13,7 / x tend vers z�ro.
-1+13,7 /x tend vers -1 et x2 tend vers plus l'infini.
Par produit des limites, f(x) tyend vers moins l'infini.
-x2 tend vers moins l'infini si x tend vers plus l'infini.
 b. Justifier les variations de la fonction f .
f '(x) = 0,06 (-2x+13,7).
Si x < 13,7 / 2=6,85, f '(x) est positive et f(x) est croissante.
Si x >6,85, f '(x) est n�gative et f(x) est d�croissante.
Si x = 6,85, f '(x) = 0 et f(x) pr�sente un maximum.
 c. R�soudre l’�quation f (x) = 0.
 −x 2 +13,7x = x(-x+13,7) = 0
 x =0 et x = 13,7.
2. a. D�terminer la limite de g en +∞.
e0,2x tend vers plus l'infini ; −0,15x +2,2 tend vers moins l'infini.
Par produit des limites, g(x) tend vers moins l'infini.
 b. D�montrer que, pour tout r�el x appartenant � [0 ; +∞[ on a : g ′ (x) = (−0,03x +0,29)e0,2x .
On pose u =−0,15x +2,2 et v =e0,2x .
u' = -0,15 ; v' = 0,2 e0,2x .
u'v+v'u = e0,2x (-0,15 +0,2(-0,15x+2,2) =e0,2x(-0,03x+0,29).
 c. �tudier les variations de la fonction g et dresser son tableau de variations sur [0 ; +∞[. Pr�ciser une valeur approch�e � 10−2 pr�s du maximum de g.
e0,2x >0. g'(x) a le signe de -0,03x +0,29.
Si x appartient � [0 ; 29 /3[, g'(x) est positive et g(x) est croissante.
Si x > 29 /3 , g'(x) est n�gative et g(x) est d�croissante.
Si x = 29 /3, g('x) =0 et g(x) pr�sente un maximum.

d. Montrer que l’�quation g(x) = 0 admet une unique solution non nulle et d�terminer, � 10−2 pr�s, une valeur approch�e de cette solution.
Sur [0 ; 29 /3], g(x) cro�t de z�ro � 2,98.
Sur [29 /3 , +oo[ :
 g(x) d�cro�t de 2,98 � moins l'infini.
g(x) est continue car d�rivable.
Z�ro appartient � ]-oo ; 2,98], dapr�s le th�or�me des valeurs interm�diaires, il existe un r�el unique a tel que g(a) =0.
a = 13,72.

Partie B : trajectoires d’une balle de golf.
 Pour frapper la balle, un joueur de golf utilise un instrument appel� � club � de golf. On souhaite exploiter les fonctions f et g �tudi�es en Partie A pour mod�liser de deux fa�ons diff�rentes la trajectoire d’une balle de golf. On suppose que le terrain est parfaitement plat. On admettra ici que 13,7 est la valeur qui annule la fonction f et une approximation de la valeur qui annule la fonction g. On donne ci-dessous les repr�sentations graphiques de f et g sur l’intervalle [0; 13,7]].

 Pour x repr�sentant la distance horizontale parcourue par la balle en dizaine de yards apr�s la frappe, (avec 0 < x < 13,7), f (x) (ou g(x) selon le mod�le) repr�sente la hauteur correspondante de la balle par rapport au sol, en dizaine de yards (1 yard correspond � environ 0,914 m�tre). On appelle � angle de d�collage � de la balle, l’angle entre l’axe des abscisses et la tangente � la courbe (Cf ou Cg selon le mod�le) en son point d’abscisse 0. Une mesure de l’angle de d�collage de la balle est un nombre r�el d tel que tan(d) est �gal au coefficient directeur de cette tangente. De m�me, on appelle � angle d’atterrissage � de la balle, l’angle entre l’axe des abscisses et la tangente � la courbe (Cf ou Cg selon le mod�le) en son point d’abscisse 13,7. Une mesure de l’angle d’atterrissage de la balle est un nombre r�el a tel que tan(a) est �gal � l’oppos� du coefficient directeur de cette tangente. Tous les angles sont mesur�s en degr�. Le sch�ma illustre les angles de d�collage et d’atterrissage associ�s � la courbe Cf Le sch�ma illustre les angles de d�collage et d’atterrissage associ�s � la courbe Cg .
 Premi�re mod�lisation : on rappelle qu’ici, l’unit� �tant la dizaine de yards, x repr�sente la distance horizontale parcourue par la balle apr�s la frappe et f (x) la hauteur correspondante de la balle. Selon ce mod�le :
 a. Quelle est la hauteur maximale, en yard, atteinte par la balle au cours de sa trajectoire ?
Cf : f(6,85) ~2,815 soit 28,15 yards.
 b. V�rifier que f ′ (0) = 0,822.
f '(x) = 0,06 (-2x+13,7).
f '(0) = 0,06 *13,7=0,822.
 c. Donner une mesure en degr� de l’angle de d�collage de la balle, arrondie au dixi�me.
tan d = f '(0) =0,822 ; d =39,4 �.
 d. Quelle propri�t� graphique de la courbe Cf permet de justifier que les angles de d�collage et d’atterrissage de la balle sont �gaux ?
La trajectoire parabolique est sym�trique par rapport � la droite d'�quation x = 6,85.

2. Seconde mod�lisation : on rappelle qu’ici, l’unit� �tant la dizaine de yards, x repr�sente la distance horizontale parcourue par la balle apr�s la frappe et g(x) la hauteur correspondante de la balle. Selon ce mod�le :
 a. Quelle est la hauteur maximale, en yard, atteinte par la balle au cours de sa trajectoire ? On pr�cise que g ′ (0) = 0,29 et g ′ (13,7) ≈ −1,87.
Le maximum de la fonction g(x) est 2,98 soit 29,8 yards.
 b. Donner une mesure en degr� de l’angle de d�collage de la balle, arrondie au dixi�me.
tan d = g '(0) =0,29 ; d =16,2 �.
. c. Justifier que 62 est une valeur approch�e, arrondie � l’unit� pr�s, d’une mesure en degr� de l’angle d’atterrissage de la balle.
tan a = g'(13,7) = -1,87 ; a ~62�
Partie C : interrogation des mod�les.
 � partir d’un grand nombre d’observations des performances de joueurs professionnels, on a obtenu les r�sultats moyens suivants :

 Angle de d�collage en degr� : 24 ;
 Hauteur maximale en yard  : 32.
Angle d’atterrissage en degr� : 52 .
Distance horizontale en yard au point de chute : 137.
 Quel mod�le, parmi les deux �tudi�s pr�c�demment, semble le plus adapt� pour d�crire la frappe de la balle par un joueur professionnel ? La r�ponse sera justifi�e.
La distance horizontale est bien confirm�e par les mod�les.
L'angle de d�collage est surestim� ( mod�le 1) et sous-estim� ( mod�le 2).
La hauteur maximale est sous-estim�e par les 2 mod�les.
L'angle de d'atterrissage est surestim� ( mod�le 2) et sous-estim� ( mod�le 1).
Ces mod�les ne sont pas satisfaisant.



  
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