Math�matiques, concours avenir 2021.

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Une seule r�ponse exacte par question. Chque r�ponse exacte est gratifi�e de 3 points ; chaque r�ponse fausse est p�nalis�e par le retrait d'un point.
Dur�e : 1 h 30 ; coefficient 6.
G�om�trie du plan et de l'espace.
1. Soient P ,R et T trois plans de l’espace, deux � deux non parall�les. On appelle D la droite d’intersection du plan P avec
le plan R.
On peut alors affirmer que la droite D est :
a. forc�ment s�cante au plan T
b. forc�ment parall�le au plan T
c. forc�ment incluse dans T
d. �ventuellement parall�le au plan T. Vrai.
Soit P le plan d'�quation cart�sienne x = 0 et R le plan d'�quation cart�sienne y =0.
L'�quation param�trique de la droite D d'intersection est : x =0 ; y = 0 ; z = t avec t r�el.

2. Dans le plan muni d’un rep�re orthonorm�, on consid�re les points A(1 ;−1), B(4 ;−4) et C(2021 ;−2021).
Combien existe-t-il de cercle(s) passant(s) par ces trois points?
a. Aucun. Vrai.
b. Un unique
c. Deux exactement
d. Une infinit�.

3. Dans le plan muni d’un rep�re orthonorm�, l’ensemble des points M(x ; y) tels que x2+ y2-2x +4y −11 = 0 est un cercle
de centre le point de coordonn�es :
a. (1 ;−2) vrai.
b. (−1 ;2)
c. (−2 ;1)
d. (2 ;−1).
x2-2x +1-1+ y2+4y +4-4−11 = 0.
(x-1)2 +(y+2)2 =16, cercle de centre (1 ; -2) de rayon 4.

4. Dans le plan muni d’un rep�re orthonorm�, l’ensemble des points M(x ; y) tels que x4- y4= 0 est constitu� :
a. d’une droite et d’un cercle
b. de deux droites et d’un cercle
c. de deux droites vrai
d. de deux droites et d’un point n’appartenant pas � celles-ci.
x4- y4=(x2+y2)(x2-y2)=(x2+y2)(x+y)(x-y)=0
x2+y2 =0, correspond � l'origine.
x+y = 0 correspond � la droite d'�quation y = -x.
x-y = 0 correspond � la droite d'�quation y = x.

5. Soient A et B deux points distincts du plan muni d’un rep�re orthonorm�.
L’ensemble des points M tels que AM2− AB2= 0 est :
a. la m�diatrice du segment [AB]
b. le cercle de centre A et de rayon AB vrai.
c. le cercle de centre B et de rayon AB
d. le cercle de centre B et de rayon racine carr�e de AB.
AM2= AB2 soit AM = AB.
M appartient au cercle de centre A et de rayon AB.

6. Dans l’espace muni d’un rep�re orthonorm�, on consid�re la droite D dont une �quation param�trique est donn�e par :
x = 2t −1 ; y = −4+2t ; z = 1+t avec t r�el.
La droite D coupe le plan de base xOz au point de coordonn�es :
a. (3 ;0 ;3) vrai
b. (−3 ;−6 ;0)
c. (0 ; -3 ; 1,5)
d. (0 ;2 ;0).
Equation cart�sienne du plan xOz : y =0. Les r�ponses b, c et d sont donc exclues.
A(3 ; 0 ; 3) appartient-il � D ?
3=2t-1 soit t = 2 ; y = -4+2*2 =0 est v�rifi� ; 3 = 1+2 est v�rifi�.
A(3 ; 0 ; 3) appartientbien � D.

7. Dans le plan muni d’un rep�re orthonorm�, on consid�re le cercle C d’�quation cart�sienne x2+ y2−6x +3 = 0 et D la droite d’�quation r�duite y = ax.
A quel intervalle doit appartenir le nombre r�el a pour que D et C aient au moins un point en commun ?
a .[-3 ; 3] ; b.
[0 ; 3] ; c. [0 ; 2] ; d. [-2 ; 2].Vrai.
x2+ a2x2−6x +3 = 0 ; (1+a2)x2−6x +3 = 0.
Discriminant D :(-6)2-4*3(
1+a2) > 0.
36-12-12a2
> 0 ; 2-a2> 0. a2 < 2.

Calculs num�riques, suites num�riques.
8. Combien existe-t-il de nombre(s) r�el(s) �gaux � leurs inverses ?
a. Aucun
b. Un unique
c. Exactement deux vrai
d. Une infinit�.
x = 1 /x ; x2 = 1 ; x = �1.

9. Quels que soient les r�els a, b et c, on a : (a +b)2−(a +c)2=
a. (b −c)(2a +b +c) vrai
b. (b −c)(a +2b +c)
c. (b −c)(a +b +2c)
d. (a −c)(a +2b +c).
(a +b)2−(a +c)2=[(a+b)+(a+c)][(a+b)-(a+c)]=(2a+b+c)(b-c).

10. Soient a =(3+2*3) / 7 et b = 7.
On peut alors affirmer que :
a. a < b vrai
b. a > b
c. a = b
d. les nombres a et b ne peuvent pas �tre compar�s.
a-b =
(3+2*3) / 7 -7 / 7 =(3+2*3-7) /7 =(-4 +2*3) / 7 < 0.

11.Pour n ∈N∗, on peut affirmer que la somme des n premiers entiers pairs non nuls 2+4+���+2n est �gale � :
a. n(n +1)/2 ; b. 2n(n +1) /2 vrai ; c. n(2n +1) /2 ; d. 2n(2n +1) /2.
Somme des termes d'une suite arithm�tique de premier terme u1=2 et de raison 2.
n (u1 + un) / 2 =n( 2+2n) / 2.

Pour les deux questions suivantes, on consid�re les suites (un) et (vn) d�finies par :
u0 = 1; un+1 = (−1)n −un pour tout n ∈N
et vn = (−1)nun pour tout n ∈ N.
12.
La suite (vn) est :
a. arithm�tique de raison −1 vrai
b. g�om�trique de raison 1
c. g�om�trique de raison −1
d. ni arithm�tique, ni g�om�trique.
vn+1 = (−1)n+1un+1 = (−1)n+1( (−1)n −un )=(-1)2n+1- (−1)n+1un= -1+(−1)nun= -1 +vn.

13. Pour tout entier naturel n, on a :
a. un = n(−1)n +n
b. un = n(−1)n +n(−1)n
c. un = (−1)n −n(−1)n. Vrai.
d. un = 1−n2.
vn =v0+n(-1)=v0-n=1-n. ( suite arithm�tique de raison -1 et de premier terme v0 = 1)
un=vn /(-1)n =
(-1)n (1-n)= -1n -(-1)n n.

14. Soient (un) et (vn) des suites adjacentes, qui convergent vers le r�el ℓ diff�rent de 0. Les suites (an) et (bn), d�finies par
an = un −ℓ et bn = vn −ℓ sont :
a. adjacentes et convergent vers 0. Vrai.
b. adjacentes et convergent vers ℓ
c. adjacentes et convergent vers −ℓ
d. non adjacentes.
En plus l'infini : limite de (
un −ℓ )= limite de un −ℓ =0.
limite de ( vn −ℓ )= limite de vn −ℓ =0.
Elle sont adjacentes : en plus l'infini, limite de an-bn = 0.

15.
Soit (un) une suite monotone. Les suites (un) et (−un) :
a. sont forc�ment adjacentes
b. ne peuvent pas �tre adjacentes
c. sont adjacentes uniquement si (un) converge
d. sont adjacentes uniquement si (un) converge vers 0. Vrai.
un -(-un)=2un. Donc les suites
(un) et (−un) sont adjacentes.
En plus l'infini, la limite de 2 un est nulle.

16.Deux suites constantes sont adjacentes si et seulement si elles sont :
a. nulles
b. convergentes
c. �gales vrai
d. convergentes vers 0.
un = a ; vn = b ; limite en plus l'infini de (
un-vn) : a-b= 0 soit a = b.

17.Soient (un) et (vn) des suites adjacentes, avec (un) croissante et (vn) d�croissante.
Soit (wn) une suite croissante qui converge vers un r�el ℓ.
On peut alors affirmer que les suites (un +wn) et (vn −wn) :
a. sont forc�ment adjacentes
b. ne peuvent pas �tre adjacentes
c. sont adjacentes uniquement si ℓ = 0 vrai
d. aucune de ces r�ponses n’est correcte.
un+wn-(vn-wn)=un-vn+2wn.
Or la limite en plus l'infini de
un-vnest �gale � z�ro.
La limite en plus l'infini de
un+wn-(vn-wn) est �gale � 2 .

18. Soient (un) et (vn) deux suites non nulles, respectivement arithm�tique de raison r et g�om�trique de raison q.
Sachant que la suite (un �vn) est g�om�trique, on peut affirmer que :
a. r = 0 et q = 1 ; b. r = 0 vrai ; c. q = 1 ; d. r = 0 ou q = 1.
un = u0+nr ; vn =v0 qn ;
un �vn=v0 qn (u0+nr) =v0u0 qn +n r v0 qn.
v0, u0 et q ne sont pas nulle, donc si r = 0, la suite
(un �vn) est g�om�trique.

Fonctions.
19. Soit n entier non nul, la fonction d�finie sur R par : f(x) = 1+x+x2+...+xn.
On note C sa courbe repr�sentative. L'�quation de la tangente � C au point d'abscisse 1 admet pour �quation :
f '(1) = 1 +2+...+n =n(n+1) /2 ( somme des termes d'une suite arithm�tique de raison1 et de premier terme 1).
f(1) =1+1+12+...+1n=n+1.
Equation de la tangente : y = f '(1) x+b = n(n+1) / 2 x +b.
Le point de coordonn�es (1 ; f(1)) appartient � la tangente :
f(1)=n+1 =n(n+1) / 2+b ; b =(n+1) (1-n/2).
y = 
n(n+1) / 2 x +(n+1) (1-n/2)= n(n+1) / 2 x +(n+2-n2)/2. R�ponse B.

20. On donne la courbe repr�sentative d'une fonction f, d�finie et d�rivable sur [1 ; 13].

Combien l’�quation f ′(x) = 0 poss�de-t-elle de solution(s) dans l’intervalle [1;13]?
a. 0 ; b. 1; c. 2 vrai ; d. 3.
La d�riv�e s'annule quand la courbe pr�sente un extr�mum ( tangente horizontale ).

21.On admet que, pour tout nombre r�el x, on a : ex> x +1.
On peut alors affirmer que pour tout nombre r�el x, on a :
a. exp(−x2) < (x −1)(x +1)
b.
exp(−x2) < -x2+1.
c. exp(−x2) > x2-1.
d. exp(−x2) >(1-x)(1+x). Vrai.
On remplace x par -x2 dans ex> x +1 : exp(−x2) > -x2+1=1-x2.
exp(−x2) > (1-x)(1+x).

22. Pour tout r�el x, on a : ln[(1+ex) / (1+e-x)] =
a. ex ; b. e2x ; c. x vrai ; d. 2x.
ln[(1+ex) / (1+e-x)] =ln[ex(1+e-x) / (e-x(1+ex)] =ln(ex-(-x) )+ln[(1+e-x) /(1+ex)]=ln(e2x)-ln[(1+ex) /(1+e-x)].
2ln[(1+ex) / (1+e-x)] =ln(e2x) = 2x.
ln[(1+ex) / (1+e-x)] = x.

23.
Soit f la fonction d�finie et d�rivable sur R par : f (x) = exp(xex)
On a alors f ′(x) =
a.
exp(xex) ; b. (x +1)exp(xex) ; c.(x+1) exp((x+1)ex) vrai ; d. (x+1) exp(x(1+ex)).
On pose w =xex ; u = x et v = ex ; u' = 1 ; v' = ex.
w' = u'v +v'u = ex+xex=(x+1)ex.
f '(x) = w' w =
(x+1)ex exp(xex) =(x+1) exp(ex(x+1)).

24. Sachant que a > 0 et que la fonction f , d�finie et d�rivable sur R par f (x) = ln(eax +e-ax) est telle que la limite en plus l'infini de f '(x) = 8 on peut affirmer que :
a. a = 1 ; b. a = 2 ; c. a = 4 ; d. a = 8. Vrai.
On pose u =
eax +e-ax ; u' = aeax -ae-ax ; f '(x) = u' / u = a(eax -e-ax ) / (eax +e-ax).
f '(x) =a
eax (1-e-2ax ) / [eax (1-e-2ax )]=a(1-e2ax ) / (1-e-2ax ).
En plus l'infini,
e-ax tend vers z�ro car a > 0 et f '(x) tend vers a.

25. Le domaine de d�finition de la fonction f d�finie par f (x) = ln(x2) est �gal � :
a. R∗ vrai  ; b. R ; c. ]0 ;+∞[ ; d. [0 ;+∞[.
x2 doit �tre diff�rent de 0.

26. Soit f une fonction d�finie et deux fois d�rivable sur R et telle que f ′(0) = 0.
Sachant que f est concave, on peut affirmer que f est :
a. � valeurs positives ou nulles sur [0 ;+∞[
b. � valeurs n�gatives ou nulles sur [0 ;+∞[
c. croissante sur [0 ;+∞[
d. d�croissante sur [0 ;+∞[. Vrai.
f est concave  : f " < 0 et f ' est d�croissante.
Or f '(0) =0 : f ' > 0 sur ]-oo ; 0] et f '(x) < 0 sur [0 ; +oo[.
f est croissante sur
]-oo ; 0] et d�croissante sur [0 ; +oo[.

27. Quel est l’ant�c�dent par la fonction exponentielle de l’ant�c�dent par la fonction logarithme n�p�rien de 0 ?
a. 0 vrai ; b. 1 ; c. e ; d. Celui-ci n’existe pas parce que la fonction ln n’est pas d�finie en 0.
ln(1) =0 ; ex = 1 soit x = 0.

...
....

28. La somme S est �gale � :

R�ponse C.

29.
Soit sh la fonction d�finie sur R par sh(x) =(ex −e−x)/2 et α une solution de l’�quation ln
(ex −e−x)=1. On peut alors affirmer
que :
a. ln(sh(
α)) < 0
b. ln(sh(
α)) > 0 vrai
c. ln(sh(
α)) = 0
d. Aucune de ces r�ponses n’est correcte.
ln(eα −eα)= ln(2sh(α))=1 ; ln(2) + ln(sh(α)) = 1 ; ln(sh(α)) = 1-ln(2) > 0.

30. Soit f la fonction d�finie sur R par : f (x) = xe2x
.
L’�quation de la tangente � la courbe repr�sentative de f dans le plan muni d’un rep�re orthonorm� en son point d’inflexion a pour �quation :
a. y = −e
−2x −2e−2 vrai
b. y = −3e
−4x −8e−4
c. y = 3e2x −2e2
d. y = 5e4x −8e2.
f '(x) =e2x+2xe2x  ; f "(x)=2e2x+2
e2x+4xe2x  =4e2x(1+x).
f " s'annule et change de signe pour x = -1 ( point d'inflexion).
f '(-1) =e-2(1-2= -e-2.
Equation de la tangente : y =
-e-2x +b.
Le point (-1 ; f(-1)=
-e-2) appartient � la tangente.
-e-2=e-2 +b ; b = -2e-2 ; y = -e-2x -2e-2.

31.
La fonction f , d�finie sur ]0 ;+∞[, par : f (x) = x2 (2ln(x)−3) est :
a. concave sur ]0 ;1[, convexe sur ]1 ;+∞[ vrai
b. convexe sur ]0 ;1[, concave sur ]1 ;+∞[
c. concave sur ]0 ;e[, convexe sur ]e ;+∞[
d. convexe sur ]0 ;e[, concave sur ]e ;+∞[.
Calcul de f '(x) en posant u = x2 et v =
2ln(x)−3 ; u' = 2x ; v' = 2 /x.
f '(x) = 2x(
2ln(x)−3) +2x = 2x(2ln(x)−2)
Calcul de f "(x) en posant u = 2x et v = 2ln(x)−2 ; u' = 2 ; v' = 2 /x.
f "(x)=2(2ln(x)-2)+4 =4 ln(x).
f " s'annule pour x = 1.
f " est n�gative sur ]0 ; 1[, f(x) est concave.
f " est positive sur ]1 ; +oo[, f(x) est convexe.

32. La limite en plus l'infini de (4x+1)-x) / x est �gale � :
a. 0 ; b. 1 vrai ; c. −∞ ; d. +∞.
[(4x+1) / x]-1 = [ 4+1 /x]
-1
En plus l'infini :
1 /x tend vers z�ro ; 4-1 tend vers 1.

33.
Soient u et v deux fonctions d�finies sur R telles que :
La limite en plus l'infini de u(x) est �gale � moins l'infini.
La limite en plus l'infini de v(x) est �gale � plus l'infini.
Sachant de plus que v est impaire, on peut affirmer que la fonction f = v ◦u, d�finie sur R par f (x) = v (u(x)) est telle que :
la limite en plus l'infini de f(x) est �gale � :
a. 0 ; b. +∞ ; c. −∞ vrai

d. Aucune de ces r�ponses n’est correcte.
En plus l'infini, la limite de u(x) est �gale � moins l'infini.
La limite en plus l'infini de f(x) est �gale � la limite en moins l'infini de v(X)  soit moins l'infini car v est impaire et que la limite en plus l'infini de v(x) est �gale � plus l'infini.

Primitive et �quation diff�rentielle.

34. Soit f la fonction d�finie sur R par f (x) =1/3e2x+5-2
La primitive F de f sur R dont la repr�sentation graphique coupe l’axe des ordonn�es au point d’ordonn�e 3 a pour expression F(x) :
F (x) =1/6e2x+5-2x+Cste.
F(0) = 3 = 1/6e5 +Cste.
Cste = 3-
1/6e5.
F(x) =
1/6e2x+5-2x+3-1/6e5. R�ponse B.

35. Soit f une fonction d�finie et d�rivable sur R telle que f ′ = f et f (0) = 2f ′(0).On peut alors affirmer que, pour tout r�el x,
f (x) =
a. ex ; b. e2x ; c. e0,5x ; d. 0.Vrai.
Les solutions de l'�quation diff�rentielle f = f ' sont de la forme f = kex avec k une constante.
Il faut de plus f(0 = f '(0) soit k = 0.

36. Si f est solution sur R de l’�quation diff�rentielle y′(x)+3y(x) = 0 (E), alors la fonction g = 2f est solution sur R de l’�quation
diff�rentielle :
a. y′(x)+3y(x) = 0 vrai
b. 2y′(x)+3y(x) = 0
c. y′(x)+6y(x) = 0
d. Aucune de ces r�ponses n’est correcte.
g' = 2 f ' soit f ' = 0,5 g' ; repport dans (E) : 0,5 g'+1,5 g =0.
g' + 3g = 0.

37. Soit g une fonction d�finie et d�rivable sur R, solution de l’�quation diff�rentielle y′(x)− y(x) = f (x), o� f est elle-m�me
une fonction d�finie et d�rivable sur R, solution de l’�quation diff�rentielle y′(x)+3y(x) = 0.
On peut alors affirmer que la fonction g ′ est solution sur R de l’�quation diff�rentielle :
a. y′(x)− y(x) = 0
b. y′(x)− y(x) = f (x)
c. y′(x)− y(x) = −3f (x) vrai.
d. y′(x)− y(x) = −2f (x).
g'-g=f ; g"-g' = f ' ;
f ' +3 f = 0 soit f ' = -3f ;
g"-g' = -3f ; (g') '-g ' =-3f.

D�nombrement et probabilit�s.
38. Sachant que (n 2)=15, on peut affirmer que n est :
a. impair ; b. multiple de 6 vrai ; c. un nombre premier ; d. multiple de 5.
(n 2)=n (n-1) / 2 =15 ; n(n-1)=30.
n2-n-30=0 ; discriminant D =1+4*30=121=112 ; solution positive : (1+11) / 2 = 6.

39. Soient A et B deux �v�nements ind�pendants tels que P(B) =0,5P(non A) et P(A∪B) = 0,68. On a alors P(A) =
a. 0,6 vrai ; b. 0,06 ; c. 0,36 ; d. 0,46.
P(A∪B) =P(A) +P(B) - P(A ∩ B)
Les �v�nements sont ind�pendants, donc
P(A ∩ B)= P(A) * P(B).
P(A∪B) =P(A) +P(B) -P(A) * P(B).
P(A∪B) =P(A) +0,5 (1-P(A))-0,5P(A)(1-P(A)).
0,68 = P(A) +0,5 -0,5P(A)-0,5P(A)+0,5 P(A)2.
0,5 P(A)2=0,68-0,5 =0,18 ; P(A)2=0,36 ; P(A) = 0,6.

40.On lance huit fois une pi�ce de monnaie bien �quilibr�e. La probabilit� d’obtenir exactement 7 "Pile" est �gale � :
a.0,5 ; b. 0,53 ; c. 0,55vrai ; d. 0,58.
La variable al�atoire X compte le nombre de "pile" ;  X suit une loi binomiale de param�tre n = 8 et p = 0,5.
P(X=7) = (87) 0,57*0,51 =8 *0,58 =23
*0,58 =1/0,53*0,58 =0,55.

41.
Soient n ∈N∗ et X et Y deux variables al�atoires telles que :
X suit la loi binomiale de param�tres n et 0,1;
Y suit la loi binomiale de param�tres n2 et 0,1.
Quelle est la valeur de n sachant que E(X +Y ) = 2?
a. 1 ; b. 2 ; c. 3 ; d. 4. Vrai.
E(X +Y ) =E(X)+E(Y)= 2.
n*0,1 + n2*0,1=2.
n2+n-20=0 ;
discriminant D =1+80=81=92.
Solution positive retenue : (-1+9)/2=4.

42. Soient X1, X2,..., X5, cinq variables al�atoires telles que pour tout i entier tel que 1 < i < 5, la variable al�atoire Xi suit la
loi binomiale B(8 ; 0,5i).
On d�finit �galement la variable al�atoire M par :M = (X1+X2+X3+X4+X5) / 5.
On a alors : E(M) =
a. 21 /20 ; 
b. 21 /40 ; c. 31 /40 ; d. 31 /20. Vrai.
E(M) =(8 x0,5 +8 x0,52 +8 x0,53 +8 x0,54 +8 x0,55 ) / 5=0,8(1+0,5+0,25+0,125+0,0625)=0,8 x1,9375=1,55=31 /20.

43. Soit X une variable al�atoire suivant la loi binomialeB(n ;p) de param�tres n et p, avec p ∈]0 ;1[. On peut alors affirmer
que :
a. E(X) = pV (X) ; b. V (X) = pE(X) ; c. E(X) = (1−p)V (X) ; d. V (X) = (1−p)E(X). Vrai.
E(X) = n p ; V(X) = n p (1-p) =E(X) (1-p).

Algorithmique et programmation.
Pour les questions 44 � 45, on consid�re l’algorithme suivant :

44. Pour une valeur saisie de N par l’utilisateur, que retourne cet algorithme?
a. La somme des entiers de 1 � N
b. La somme des inverses des entiers de 1 � N vrai
c. L’inverse de la somme des entiers de 1 � N
d. L’inverse de la somme des inverses des entiers de 1 � N.

45. Pour une valeur saisie de N �gale � 5, l’algorithme retourne une valeur comprise entre :
a. 0 et 1 ; b. 1 et 2 ; c. 2 et 3 vrai ; d. 3 et 4.
0+1+1/2+1/3+1/4 +1/5 ~2,28.





  
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